Aujourd’hui, on le sait, la station d’épuration traite un volume important d’eaux parasites. Il devenait donc nécessaire de déterminer où et comment les eaux pluviales viennent « polluer » le réseau d’assainissement.
C’est à ces fins qu’un diagnostic, commandé il y a 18 mois, est lancé sur les 12 kms de réseau et sur les installations. Cette étude qui devrait se terminer en septembre, va se faire à partir de diverses techniques : caméra, colorants, fumée, contrôle des branchements, … certaines opérations se feront de nuit.
La société Hydraulique Environnement, chargée de la mission, va faire un état des lieux et une estimation des investissements à réaliser. Le but, à terme, est de réserver le réseau d’assainissement aux eaux usées et de rediriger les eaux pluviales. Zone sensible, le quartier Labat va faire l’objet d’une attention toute particulière.